Anciens Astrapi 40 ans

Élevés à Astrapi !

Il y a dix, vingt, trente ou quarante ans… Vous êtes nombreux à avoir adoré Astrapi ! Nombreux à avoir béni le jour de l’arrivée de votre magazine chéri, à avoir été passionné par un article, un héros, un jeu, un bricolage… Certains disent même que cela à fait naître en eux une vocation !

Et pour beaucoup, vous voilà heureux de voir vos enfants partager aujourd’hui cette passion…

Alors si vous avez envie de crier votre amour au magazine de votre enfance ou de partager avec d’autres anciens Astrapiens, n’hésitez pas !

Écrivez-nous, écrivez-vous !

Abonnez votre enfant à Astrapi

259 réflexions sur « Élevés à Astrapi ! »

  1. Elsa dit :

    Bonjour,
    Je suis une ancienne lectrice d’Astrapi.
    J’adorais les Copains des Tilleuls, Touffu et Marion Duval… et bien sur les Astrapans !
    Je me souviens du restaurant du Père Latoque, particulièrement !
    Elsa

  2. Aurélie dit :

    Bonjour,
    Ancienne lectrice d’Astrapi, j’ai abonné ma fille pour lui piquer ses numéros… que je lis toujours avec autant de plaisir.
    Le seul problème, c’est qu’elle est fan, elle aussi !
    Aurélie, maman d’Émeline

  3. Marie-Pierre dit :

    Cher Astrapi,
    Quand ma fille Violette m’a lu ton entrefilet sur les parents anciens lecteurs, il n’a fait de doute, ni pour l’une ni pour l’autre, que j’allais te répondre.
    En effet, j’étais abonnée. Mais en réalité, c’était bien plus que cela.
    C’est avec toi que j’ai appris la quinzaine.
    Pour toi que j’ai réclamé et obtenu ma première clé : celle de la boîte aux lettres !
    De toi que j’ai appris à bricoler : ah, le petit scribe assis sur une boîte d’allumettes et dont on faisait défiler les hiéroglyphes…
    Mais surtout, et ça il n’y a qu’à toi que je peux le dire, et sûrement pas à mes enfants (qui ont la chance d’avoir une enfance bien plus drôle que la mienne) : quand Astrapi arrivait, c’était la joie, et surtout le monde qui entraient dans ma chambre. Parce que c’était des heures d’évasion de ma tristesse quotidienne et des heures de concentration sur les bricolages, à ne pas penser au reste.
    Et puis c’était aussi un peu de ma tante, au-dessus de mon épaule. Cette tante pleine de rires et de malice et qui, si fine, avait eu l’idée de m’abonner un Noël… Et tous les Noëls qui ont suivi, ce n’était pas les gros cadeaux que je guettais, mais la petite enveloppe de réabonnement.
    Alors oui, j’ai été ensuite abonnée à Okapi, à Phosphore, mais ce n’était pas tout à fait pareil… Et quand je pense à ce que je suis devenue, je me dis qu’il y a un peu d’Astrapi là-dessous : une femme qui adore bricoler, qui est devenue prof de français pour consoler par la lecture les enfants tristes et faire pétiller les autres, une gourmande qui cuisine divinement bien – si, si ! Et, je crois, une chouette tante qui abonne ses neveux.
    Merci Astrapi !
    Marie-Pierre

  4. Sophie dit :

    Cher Astrapi,
    Ma fille Clémence (9 ans) reçoit Astrapi depuis deux ans et elle l’attend avec impatience à chaque fois.
    Sa maman Sophie (41 ans) le lisait au même âge avec autant de plaisir !
    Prête à témoigner !
    Sophie

  5. Sophie dit :

    Bonjour !
    J’ai 42 ans et j’ai été fidèle lectrice d’Astrapi durant plusieurs années !
    Aujourd’hui, c’est mon fils Gaspard, 9 ans, qui vous attend chaque jour !
    Merci encore pour ces moments de lecture.
    Sophie

  6. Annabelle dit :

    Bonjour,
    Mon fils vient de recevoir son nouvel Astrapi. Nous l’avons feuilleté ensemble et nous avons découvert votre appel à témoignages.
    Mon plus beau souvenir d’Astrapi, ce sont les dossiers « bricolage », et notamment un dossier sur les fraises. Je revois encore maintenant, trente ans plus tard, le magnifique dessin de la coupe intérieure de ce fruit, dessin qui m’a permis de prendre conscience de sa beauté, en plus de son goût. Depuis, je repense à mon Astrapi à chaque fois que je mange des fraises. J’aimais aussi beaucoup les bandes dessinées à la fin.
    C’est cette découverte des choses simples mais importantes que j’aime partager avec mon fils, tous les quinze jours. En plus, ce sont mes parents qui lui ont offert son abonnement !
    Dans notre famille, Astrapi passe de génération en génération.
    Alors longue vie à Astrapi !
    Annabelle, maman de Florian

  7. Marie dit :

    Salut !
    Il y quelques années, ma maman m’avait annoncé l’arrivée prochaine d’un journal spécialement pour moi. Au programme : lecture, bricolage, informations… Tout ça dans la bonne humeur ! 
    Je n’ai pas été déçue et mon abonnement à Astrapi a dû commencer dès le numéro 2. 
    Ensuite, mon frère et moi attendions avec impatience l’arrivée du prochain numéro et nous nous battions même (ce n’est pas bien) pour lire Touffu en premier.
    Aujourd’hui, je suis la maman de deux Astrapiens de 10 et 13 ans, et c’est encore la bagarre pour découvrir chaque nouveau numéro !
    J’aime beaucoup les blagues de la dernière page.
    Astrapienne un jour, Astrapienne toujours !
    Marie, 45 ans

  8. Odile dit :

    Salut Astrapi !
    Ça faisait longtemps que je ne t’avais pas écrit. À peu près… trente ans ! Aujourd’hui, c’est ma fille Mathilde qui te lit. Et moi, je jette un petit coup d’œil en douce, c’est comme ça que j’ai vu ton appel à témoignages.
    Que de souvenirs quand je repense à mes années Astrapi ! 
    Il y a des numéros gravés dans ma mémoire.
    « La maison de tous les dangers » avec d’excellents conseils pour éviter les accidents domestiques. J’y pense à chaque fois que je tonds la pelouse, et je revois le dessin du monsieur qui tond pieds nus !
    Le petit livret sur le rôle du président de la République en 1988 : il fallait attendre de connaître les résultats des élections pour coller le visage du président. Mais mes frangins et moi n’avions pas eu la patience… Nous avions demandé à nos parents pour qui ils allaient voter et nous avions collé la tête de Raymond Barre partout ! Perdu, c’est Mitterrand qui a gagné !
    J’ai récemment lu une bande dessinée de l’Inspecteur Bayard avec mes filles… Je me souvenais des coupables et même des indices !
    Sans vouloir vous mettre la pression, quand je vois tout ce que j’ai retenu de mes lectures de l’époque, je mesure l’importance de proposer une revue de qualité aux enfants…
    Continuez à nous écrire de beaux journaux !
    Odile
    Astrapienne du XXe siècle et maman de Mathilde (Astrapienne de 8 ans) et d’Émilie (5 ans, lectrice des Belles Histoires)

  9. Pierre dit :

    Bonjour !
    Vous recherchez des anciens lecteurs, je suis votre homme !
    Issu d’une famille de profs, élevé à Télérama et à France Inter, de frères en sœurs, j’ai adoré Astrapi : ma meilleure période de Bayard Presse, je crois. J’aimais tout : les Copains des Tilleuls, les grandes histoires, les biographies surtout : Charles de Foucauld, saint François d’Assise… Génial !
    À bientôt, j’espère ?
    Bien à vous, 
    Pierre, père de Joséphine et de Martin, lecteurs de troisième génération !

  10. Émilie dit :

    Bonjour !
    Mes enfants sont abonnés à Astrapi depuis un moment. Avant, c’était Pomme d’Api et Belles Histoires. Et moi, j’ai été abonnée entre 7 et 10 ans, de 1982 à 1986 à peu près… Après, c’était Okapi.
    Comme ma mère garde tout, mes enfants peuvent encore lire tous mes vieux Astrapi quand ils vont en vacances chez leurs grands-parents. Ils aiment bien les vieux Marion Duval et les Copains des Tilleuls. Mon dernier adore Touffu ! On complète notre collection chez Emmaüs : on y trouve souvent aussi des vieux J’aime lire, je les relis pareillement !
    Maintenant, j’adore Kiki et Aliène, et je lis/discute de Lulu avec ma fille de 9 ans.
    Merci Astrapi !
    Émilie, maman toujours Astrapienne de Célian (11 ans) de Madeline (9 ans) et de Ruben (6 ans) : trois abonnements Bayard cumulés !

Laisser un commentaire

Ces informations sont destinées au groupe Bayard, auquel Astrapi appartient. Elles sont enregistrées dans notre fichier afin de publier ton ou tes commentaires sur le site. La rédaction Astrapi va d'abord lire ton commentaire puis le publier sur le site astrapi.com. Conformément à la loi « Informatique et Libertés » du 6/01/1978 modifiée et au RGPD du 27/04/2016, tes informations peuvent donner lieu à l’exercice du droit d’accès, de rectification, d’effacement, d’opposition, à la portabilité des données et à la limitation des traitements ainsi qu’au sort des données après la mort à l’adresse suivante : Gérer mes droits/Bayard Jeunesse. Pour plus d’informations, tu peux consulter les dispositions de notre Politique de confidentialité sur le site groupebayard.com.