Il y a dix, vingt, trente ou quarante ans… Vous êtes nombreux à avoir adoré Astrapi ! Nombreux à avoir béni le jour de l’arrivée de votre magazine chéri, à avoir été passionné par un article, un héros, un jeu, un bricolage… Certains disent même que cela à fait naître en eux une vocation !
Et pour beaucoup, vous voilà heureux de voir vos enfants partager aujourd’hui cette passion…
Alors si vous avez envie de crier votre amour au magazine de votre enfance ou de partager avec d’autres anciens Astrapiens, n’hésitez pas !
Écrivez-nous, écrivez-vous !
Bonjour,
L’aînée de mes cinq enfants (Guillemette) est abonnée à Astrapi et je perdure la tradition… car mes deux grandes sœurs, moi-même et mon petit frère ont été abonnés. Donc de 1986 à 1996, je pense. Tous les Astrapi sont chez mes parents, je les connais par cœur !
Les Astrapans, les bricolages, Touffu, les Copains des Tilleuls avec Yann et Farida (qui me manquent tellement), Marion Duval (que je peux retrouver), l’Inspecteur Bayard… et les innombrables jeux de société à créer, comme mon préféré, « le Président », qui expliquait toute la démocratie…
Je pourrais continuer ainsi encore longtemps !
En tout cas, si vous organisez un concours, je gagne !
Continuez ainsi avec ces belles valeurs qui font grandir nos enfants.
Stéphanie
Bonjour,
J’étais une fervente lectrice d’Astrapi et je suis heureuse que mon fils reprenne le flambeau !
Et pour couronner le tout, Astrapi n’a qu’un tout petit jour de plus que moi : je suis du 2 octobre 1978 !
Longue vie à Astrapi !
Marie
Cher Astrapi,
À la demande de mon fils Salvatore, je vous informe que j’étais une ancienne abonnée à votre magazine.
Dans le grenier de mes parents, doivent encore exister quelques exemplaires des Astrapi de l’époque, années 1980 environ.
Mon fils est abonné chez vous depuis deux ans, il adore !
Edwige, sa maman
Bonjour !
J’ai tellement adoré ce magazine quand j’étais enfant que j’avais écrit à la rédaction. J’avoue que je le lisais en cachette quand j’étais abonnée à Okapi ou à Phosphore après l’avoir subtilisé à mes petites sœurs…
J’étais une grande fan de la bande des Tilleuls… et de Marion Duval : je pique régulièrement les numéros de mon fiston pour lire ses nouvelles aventures. Je n’ai pas gardé mes vieux numéros, mais j’ai transmis mon cahier où je collais les recettes Astrapi.
Je vais avoir 40 ans dans quelques jours… comme toi !
Merci pour ce que vous faites.
Alexia et Tchaga (10 ans)
Bonjour,
Je suis ravi de voir l’importance des abonnements pour nos jeunes. Voilà maintenant la seconde génération, celle de nos petits-enfants, à qui nous offrons une revue « bien à soi » comme cadeau de Noël, selon l’âge bien sûr.
Astrapi se mérite, est toujours attendu et apprécié, et il nous est parfois demandé de continuer au-delà de l’âge « réglementaire ».
Bravo et merci aux équipes qui ont créé et continuent de réaliser ce petit bijou.
Gros baisers affectueux à nos enfants et petits-enfants « façon Astrapi » !
Bonjour,
Je suis Julien, papa de Jeanne.
J’étais Astrapien de mes 7 ans à mes 11 ans à peu près. Et j’adorais les aventures du gros chien Touffu.
Bon anniversaire !
Julien
Bonjour,
Oui, je fais partie des fidèles lectrices d’Astrapi ! Depuis quasiment le premier numéro, car mes frères sont nés en 1971 et en 1972 et ont été vite abonnés. J’ai donc pu profiter de leurs Astrapi ; puis abonnée moi-même ; puis bibliothécaire jeunesse et mère de trois enfants.
Bref, je suis tombée dedans et j’adore toujours autant !
Vous avez pensé à quoi pour les 40 ans ?
Je suis curieuse et je m’attends à tout…
Astrapiment vôtre,
Laure
Astrapi,
Je m’appelle Florent, j’ai 35 ans. Mon fils Nino de 9 ans est abonné à Astrapi, tout comme je l’étais à son âge.
Nino m’a demandé si j’étais un parent astrapien après avoir vu votre appel à témoignages dans le dernier numéro.
Je vous adresse donc ce message et me tiens à votre disposition si vous avez des questions ?
Florent
Bonjour,
Mon fils Timothée, en CM2, vient de recevoir le dernier Astrapi. En voyant votre annonce, il m’a dit : « Maman, il faut que tu écrives ! »
J’ai effectivement été abonnée à Astrapi depuis le numéro 1 ! J’en ai d’ailleurs gardé pas mal, il est possible que je l’ai encore. Mais à chercher dans le grenier pas très accessible de mes parents…
J’adorais le recevoir, lire les histoires… Et je constate que mon fils est tout aussi enthousiaste. Son petit frère a d’ailleurs hâte de passer à Astrapi, parce que Pomme d’Api, c’est bien, mais ce n’est qu’une fois par mois… Alors il râle à chaque fois que son frère a un journal et pas lui.
Marion Duval a bien changé en quarante ans, même si elle n’a pas vieilli ! Pas comme moi… Mais c’est chouette de pouvoir se replonger de temps en temps dans Astrapi, toutes ces années plus tard.
N’hésitez pas, si vous le souhaitez, à me recontacter.
Bénédicte (presque 47 ans)
Bonjour,
Eh bien oui ! Né en avril 1970, je suis un ancien lecteur d’Astrapi, parmi les jeunes de l’époque qui ont eu la joie d’être abonné dés le numéro 1.
Aujourd’hui mon fils Clovis reçoit son Astrapi : je le lis autant que lui !
À bientôt !
Christian
Bonjour Astrapi,
J’ai vu que vous recherchiez des parents d’Astrapiens, qui ont eux mêmes été lecteurs d’Astrapi… C’est mon cas !
Je suis un peu plus vieille qu’Astrapi : j’ai 43 ans et je pense que j’ai dû être abonnée pour la première fois vers 1982 ? Et comme j’avais deux sœurs plus jeunes que moi, j’ai profité de ces lectures bien au-delà de l’âge mentionné. Puis j’ai pu les reprendre dès que mon fils aîné a eu l’âge légal, en 2008… Et cela dure depuis dix ans avec mon troisième enfant !
Bref, je pense pouvoir comptabiliser près d’une vingtaine d’années de lecture d’Astrapi : 1982-1992 et 2008-2018. Un vrai plaisir !
Bien sûr, j’ai la nostalgie des Copains des Tilleuls, de Touffu (il y avait même eu une marionnette à coudre en feutrine) et des Astrapans : l’Astrapan sur l’eau, sur les fourmis, sur le foot et sur la fabrication d’Astrapi… Trop bien aussi de retrouver Marion Duval, qui ne vieillit pas !
Chez nous, c’est difficile de quitter Astrapi, même pour Okapi… Alors on garde Astrapi sans souci jusqu’à 12 ans bien tassés ! Et aujourd’hui encore, je ne peux m’empêcher d’y jeter un œil !
Isabelle