Il y a dix, vingt, trente ou quarante ans… Vous êtes nombreux à avoir adoré Astrapi ! Nombreux à avoir béni le jour de l’arrivée de votre magazine chéri, à avoir été passionné par un article, un héros, un jeu, un bricolage… Certains disent même que cela à fait naître en eux une vocation !
Et pour beaucoup, vous voilà heureux de voir vos enfants partager aujourd’hui cette passion…
Alors si vous avez envie de crier votre amour au magazine de votre enfance ou de partager avec d’autres anciens Astrapiens, n’hésitez pas !
Écrivez-nous, écrivez-vous !
Cher Astrapi,
Je suis une vieille Astrapienne de 47 ans, toujours fidèle à Astrapi !
Abonnée toute mon enfance, depuis le numéro 1, j’ai tellement adoré Astrapi qu’au moment où j’aurais dû passer à Okapi, j’ai refusé et j’ai continué à recevoir Astrapi pendant mes années au collège !
Je suis finalement directement passée d’Astrapi à Phosphore !
Devenue maman, j’ai bien sûr abonné mes trois filles. Et comme je suis institutrice, ma classe est évidemment aussi abonnée !
Astrapicalement,
Virginie
Astrapi,
J’ai 42 ans. Ma grande sœur en a 46, et ma petite sœur, 38. Toutes les trois, nous avons été de fidèles lectrices d’Astrapi. Chez mes parents, il y a une belle collection, et même le numéro 1 !
J’ai des souvenirs d’après-midi passées à faire les bricolages, parfois à m’énerver sur les bricolages ! J’ai un très mauvais souvenir de la fusée Ariane, qui a fini froissée dans la poubelle après une grosse colère.
Mais aussi de très bons moments avec Touffu, Marion Duval et une autre famille dans une BD dont j’ai perdu le nom…
En tout cas, je suis impatiente de voir ce que vous concoctez pour les 40 ans d’Astrapi ?
Cécile
Bonjour,
Ma fille m’a montré son dernier numéro où vous recherchez des anciens lecteurs d’Astrapi.
J’ai été une lectrice inconditionnelle pendant des années. Je me souviens même vous avoir écrit un jour pour vous dire à quel point j’étais fan et que je n’avais pas trop envie de changer de revue… Vous m’aviez alors répondu en m’envoyant des numéros d’Okapi pour essayer !
J’aimais beaucoup le personnage de Touffu et toutes ces rubriques et ces astuces…
Bref, je relirais volontiers les vieux numéros que je n’ai hélas plus.
Bien à vous,
Marie
Bonjour,
Que de souvenirs fabuleux pour moi à l’évocation d’Astrapi ! J’y repense à chaque fois que mon fils reçoit son magazine !
Je ne me souviens pas exactement de quand j’ai commencé à lire Astrapi. Je sais que je n’ai pas eu le premier numéro, mais peut-être vers le numéro 10 ? Aujourd’hui, il y a plein de choses que j’ai apprises dans Astrapi !
À l’époque, dans ma famille, nous n’avions pas la télévision. Donc je lisais beaucoup, et j’attendais avec impatience mon Astrapi tous les quinze jours pour le dévorer ! Le suspense des BD « à suivre » de Marion Duval était insoutenable !
Plus petite, j’ai beaucoup aimé Pomme d’Api. Et après Okapi. Mais c’est quand même la période Astrapi qui reste un souvenir incroyable.
Et c’est génial que ça continue encore de nos jours pour nos enfants !
Aline
Bonjour,
Mon fils Marius, 9 ans, est un fidèle abonné à Astrapi, qu’il attend avec impatience chaque quinzaine !
Il sait que son papa lisait Astrapi au même âge et il m’interpelle car, dans le numéro 897, il y a un appel à témoignages pour les 40 ans du magazine !
J’ai quelques souvenirs et anecdotes à partager.
Arthur
Astrapi,
Mes meilleurs souvenirs : le numéro « spécial 1er avril » de mon année de CM2, en 1994. La classe part à la piscine. Anne (aussi abonnée) et moi restons à l’école, car dispensés. On a passé deux heures, seuls dans la classe, à préparer tous les bricolages, farces et blagues pour le retour du maître et des élèves ! Au lieu de faire notre travail…
Autre numéro marquant sur les objets insolites du futur : j’avais calculé que j’aurais 40 ou 50 ans alors. Il y a avait de drôles de trucs, et un message m’a marqué : « Si ces objets n’existent pas en telle année, on vous rembourse ce numéro d’Astrapi ! » Je me suis dit qu’Astrapi n’existerait plus (perdu !), que je ne garderais pas le magazine (gagné !), qu’il ne vaudrait pas grand-chose (qui sait ?) et que c’était plus une blague qu’une promesse (alors ?).
Sinon, classique : Touffu, les bricolages (attaches parisiennes, boîtes d’allumettes, trombones, boîtes de pellicules photos, cartes à découper), les jeux…
Bravo et merci.
Arthur
Cher Astrapi,
J’ai 41 ans et je crois avoir lu presque tous les numéros d’Astrapi…
Quand j’étais petite, avec ma sœur et mon frère aîné, nous étions abonnés. Et comme j’avais deux petites sœurs, j’ai pu continuer pendant longtemps. Mes cousins avaient aussi les premiers numéros : quand j’allais chez eux, je me régalais de lecture.
Ensuite, j’ai abonné ma fille aînée, qui a 16 ans aujourd’hui. Depuis quelques années, ce sont mes parents qui offrent l’abonnement à ma deuxième fille pour Noël. Le problème, c’est qu’elle va entrer en sixième… Je pense que je risque d’être bientôt privée d’Astrapi ?
Ah ! Elle me dit qu’elle compte rester abonnée même au collège. Ouf !
Mes parents ont gardé tous les numéros qu’on avait reçus. Et leurs petits-enfants, mes filles et mes neveux et nièces, les lisent beaucoup. Certains sont presque déchirés.
Mon personnage préféré était Touffu ! Aujourd’hui, c’est Kiki et Aliène.
Bref, je t’aime Astrapi.
Camille
Bonjour,
Je vous écris à la suite de votre appel à témoignages.
J’ai 40 ans tout pile… comme Astrapi. Et entre mes 7 et 10 ans, j’ai adoré lire Astrapi. Je me souviens surtout des farces du 1er avril, des BD, des blagues…
Quand mon aîné a eu l’âge de lire Astrapi, j’ai été ravie de me rendre compte que vous aviez réussi à garder « l’esprit Astrapi » tout en vous adaptant à nos enfants d’aujourd’hui. Et Victor dévore son magazine comme moi à l’époque.
Seul hic pour lui : je suis trop forte en devinettes !
Marie-Claire
Bonjour,
Je suis maman de Manon (9 ans). Ma fille a adoré construire les souvenirs de Russie.
Je lisais moi-même Astrapi quand j’étais petite. Je réponds à votre proposition !
Julie
Bonsoir Astrapi,
Nous sommes les grands-parents de Corentin. Il est abonné à Astrapi… comme le fut son papa Gilles qui, lui, a été abonné dès le premier numéro (après Pomme d’Api).
En 1978, premier numéro, premiers découpage et montage du château fort. Quel souvenir !
Ah, ce château fort ! Il a été présenté dans toutes les classes du quartier, de l’école primaire à l’école maternelle (par le petit frère de Gilles).
Et la machine à remonter le temps jusqu’en 1980, faite avec deux crayons ! Et les herbiers ! Et les valises de jeux découpées !
Nous avons tout conservé… En fait, le château fort n’a pas résisté aux divers déménagements !
Nos petits-enfants, même les plus grands, quand ils viennent nous voir en été, vérifient que tout est là et se mettent à jouer avec ces petits jeux. Mais ils ne comprennent pas très bien pourquoi le temps s’arrête en 1980 !
Maintenant, c’est avec Corentin que j’ai découpé le village gaulois. Et pour les Rois, j’ai utilisé la recette de l’Astra’galette.
Alors bonne année et longue vie à Astrapi !
Michèle
Bonjour,
Nos enfants Alban et Émilie sont abonnés à bon nombre de revues Bayard : J’aime lire, Astrapi, Images doc et Filotéo.
J’ai moi-même été abonné à Astrapi vers 1978-1980. Nous recevions beaucoup de magazines car ma mère était représentante Bayard dans les Hautes-Pyrénées.
Bonne continuation,
Olivier