Il y a dix, vingt, trente ou quarante ans… Vous êtes nombreux à avoir adoré Astrapi ! Nombreux à avoir béni le jour de l’arrivée de votre magazine chéri, à avoir été passionné par un article, un héros, un jeu, un bricolage… Certains disent même que cela à fait naître en eux une vocation !
Et pour beaucoup, vous voilà heureux de voir vos enfants partager aujourd’hui cette passion…
Alors si vous avez envie de crier votre amour au magazine de votre enfance ou de partager avec d’autres anciens Astrapiens, n’hésitez pas !
Écrivez-nous, écrivez-vous !
Bonjour !
J’ai vu votre appel à témoignages dans le dernier Astrapi de ma fille… Oui, je le lis toujours avec plaisir !
Mon frère un peu plus âgé et moi-même avons eu la chance de lire les premiers Astrapi – les premiers J’aime lire aussi d’ailleurs.
Mon frère avait le droit de lire en priorité les numéros impairs, et moi les pairs. Je me souviens avoir écrit à Astrapi pour savoir comment fonctionnaient les châteaux d’eau et avoir demandé que la réponse paraisse dans un numéro pair ; je crois qu’Astrapi m’avait répondu que mon frère me prêterait « son » numéro si l’explication figurait dans un numéro impair. Je me souviens que je lisais avec plaisir les Copains des Tilleuls et Touffu en particulier.
Voilà pour mes premiers souvenirs !
Anne-Lise
Bonjour !
Mes enfants m’ont dit que vous cherchiez d’anciens lecteurs : j’en suis !
Une ancienne (et toujours) fan… Nous habitons au Cambodge et trouvons quand même le moyen de le recevoir jusqu’ici !
Je serais ravie de répondre à vos questions !
Chloé
Bonsoir Astrapi,
Ma fille Daphné, qui a 8 ans, est une lectrice assidue d’Astrapi avec son frère Léon (10 ans). Elle insiste pour que je t’apporte mon témoignage d’ancien lecteur, alors je m’exécute…
J’ai en effet évoqué à plusieurs occasions mes souvenirs de lecture d’Astrapi avec eux. Lorsque j’ai fait ma rentrée en CE2, en 1978, je ne suis resté que quelques jours dans cette classe… Un matin, la directrice est venue me chercher, m’a demandé de prendre mes affaires et m’a emmené en classe de CM1. C’était ma nouvelle classe. J’étais un peu intimidé car j’étais le plus jeune, et en plus j’étais petit ! Mais il s’est trouvé que, ce jour-là, est venue dans la classe une dame qui présentait une revue pour les enfants : c’était Astrapi/Astrapan. Pour nous montrer de quoi il s’agissait, la dame a déplié les pages centrales qui permettaient de fabriquer un château fort. En plus, elle avait une version déjà fabriquée du château dont elle expliquait que des ciseaux et de la colle suffisaient pour le construire. Je me souviens que j’étais très emballé et en rentrant le soir à la maison, quand mes parents m’ont demandé comment s’était passé cette première journée d’école, j’ai tout de suite parlé de ce château fort et de mon envie d’être abonné à ce magazine. Je crois même n’avoir parlé presque que de cela… Je crois que mon abonnement a débuté quelques numéros plus tard, donc je n’ai jamais pu faire moi-même le château fort. Mais j’adorais construire les maquettes d’Astrapan. Je me souviens en particulier de la maquette d’une péniche qui nécessitait deux boîtes d’allumettes. Ma maman m’avait acheté ces deux boîtes qu’elle avait ensuite vidées pour que je puisse faire la maquette. Cette péniche s’appelait « le pic hardi ». Ce jeu de mots avait amusé mon papa qui me l’avait expliqué je crois, à moins que l’explication n’ait figuré dans Astrapan… Ma mémoire me fait hélas défaut !
À bientôt Astrapi, et un grand merci pour ces souvenirs et pour ceux que tu laisseras très certainement à Léon et à Daphné.
Yann
Bonjour Astrapi,
Tout comme ma fille Erin, qui a 8 ans et qui est une fidèle lectrice d’Astrapi, j’étais moi aussi abonnée à Astrapi à son âge. Elle m’a demandé de répondre à votre appel !
Bien cordialement,
Flore, maman d’Erin (et ancienne Astrapienne)
Bonjour,
J’étais une fervente lectrice d’Astrapi quand j’étais enfant. Je suis née en 1978 et ma fille, 10 ans, est abonnée à Astrapi. Elle est Astrapi addict, tout comme moi…
J’ai un souvenir très précis à partager. Dans un vieil Astrapi paru vraisemblablement en hiver, il y avait la recette d’un gâteau en forme d’igloo.
C’était illustré de la photo de l’igloo, avec du sucre glace, et mis en scène avec des petits personnages. Je n’ai jamais réalisé ce gâteau, mais il m’a toujours fait rêver… encore maintenant !
Il y a quelques années, j’ai essayé d’en faire un à partir de la base d’un quatre-quarts. J’avais découpé des petites briques et tenté de construire un igloo… Résultat : je n’ai pas réussi à reconstituer l’igloo et on a dû manger les briquettes (très bonnes d’ailleurs).
Je veux réaliser mon rêve d’enfant.
Le scénario de mes rêves :
Mon témoignage vous touche, vous retrouvez ce fameux numéro, vous m’envoyez la recette, je réalise ce gâteau et je vous envoie la photo.
Ensuite vous la publiez !
Autre scénario :
J’ai quand même ma petite idée sur la réalisation du gâteau… le cuire dans un saladier en Pyrex, creuser les briques avec un bâtonnet et recouvrir de sucre glace. Mettre en scène et envoyer la photo à Astrapi…
Salutations,
Marion
Bonjour,
Je suis le papa de Flora, abonnée a Astrapi. J’étais moi-même abonné il y a trente ans !
Quand Flora est chez son papi et sa mamie, elle adore lire mes vieux Astrapi de 1985 à 1990.
Cordialement,
Thierry
Bonjour Astrapi,
J’ai vu votre appel à témoins dans Astrapi. Ma fille est lectrice d’Astrapi. Moi-même quand j’étais enfant, j’étais une fidèle d’Astrapi, et bien sûr de Touffu, le célèbre chien sans chaîne…
Si vous avez besoin de mon témoignage, n’hésitez pas à me contacter.
Marie-Ève
Cher Astrapi,
La dernière fois que je t’ai écrit, c’était une lettre dans une enveloppe : Internet et les mails n’existaient pas !
Je ne sais plus trop ce que je te racontais, peut-être une devinette ou une histoire drôle à publier ? En tout cas, je me souviens que c’est Touffu qui m’avait répondu et qu’il y avait à l’intérieur de sa lettre des autocollants sur l’Astrapifolie : ils sont toujours collés dans un placard de ma chambre d’enfant, chez mes parents !
Depuis tout ce temps, il y a plus de trente ans, beaucoup de choses ont changé pour moi, bien sûr. Par exemple, je suis marié. Et figure-toi que mon épouse Cécile était aussi abonnée à Astrapi !
Ce qui est rigolo, c’est que sans nous connaître, nous avons tous les deux organisé le restaurant Astrapi qui était proposé dans un numéro du milieu des années 1980. L’une dans les Deux-Sèvres, moi en Bretagne. Toutes les recettes se terminaient par « C’est très léger » ! Nous en avons tous les deux un chouette souvenir, même si les repas avaient duré très longtemps car nous n’étions pas très bien organisés !
Aujourd’hui, il n’y a plus Touffu ni les Copains des Tilleuls. Et Marion Duval a bien changé… Mais notre fille Adèle, qui a presque 10 ans, est aussi contente que nous de te retrouver pour bouquiner, bricoler et cogiter. Et t’écrire aussi de temps en temps… par mail. Elle t’a même envoyé une maquette d’Astrapi sur l’histoire du journal.
La boucle est bouclée, bon anniversaire Astrapi !
Émeric et Cécile
Bonjour,
Je suis une ancienne lectrice d’Astrapi, et moi aussi j’ai 40 ans cette année !
Depuis deux ans, j’ai retrouvé grâce à ma fille la magie de l’abonnement Astrapi, dont je garde des souvenirs d’enfance mémorables. J’ai été abonnée pendant des années, car j’ai la chance d’avoir une petite sœur et un petit frère !
Pour nous, Astrapi, c’était plus qu’un magazine… C’étaient des surprises à chaque fois, des BD qu’on aimait retrouver : Marion Duval, ma préférée ! Je me souviens aussi de Tendre Banlieue, et dans un autre genre de l’Inspecteur Bayard. Et surtout, je me rappelle les « petits restaurants », comme on les appelait, et les bonnes idées de spectacles. Ça a vraiment rythmé notre vie de famille, on en reparle souvent même aujourd’hui, car mes parents étaient fans, forcément !
Si vous avez des questions plus précises, je suis à votre disposition, avec plaisir !
Cordialement,
Odile
Bonjour Astrapi,
Je suis parent d’un lecteur d’Astrapi, moi-même ancienne lectrice d’Astrapi.
Je me régale de découvrir chaque nouveau numéro dans la boîte aux lettres, autant que mon fils de 6 ans. Nous serions enchantés de partager cet anniversaire avec vous.
À bientôt !
Carine (40 ans) et Hippolyte (6 ans)