Il y a dix, vingt, trente ou quarante ans… Vous êtes nombreux à avoir adoré Astrapi ! Nombreux à avoir béni le jour de l’arrivée de votre magazine chéri, à avoir été passionné par un article, un héros, un jeu, un bricolage… Certains disent même que cela à fait naître en eux une vocation !
Et pour beaucoup, vous voilà heureux de voir vos enfants partager aujourd’hui cette passion…
Alors si vous avez envie de crier votre amour au magazine de votre enfance ou de partager avec d’autres anciens Astrapiens, n’hésitez pas !
Écrivez-nous, écrivez-vous !
Bonjour la rédaction d’Astrapi !
Dans votre dernier numéro, j’ai vu que vous cherchiez des parents qui étaient lecteurs d’Astrapi étant enfants. J’en fait partie !
En fait, j’irai même plus loin : Astrapi a été, de loin, mon magazine préféré. J’adorais cette revue, notamment pour tous les bricolages proposés. Toujours inventifs, toujours ludiques. Avec plein de petits bouts de papier découpés par terre, signes évidents qu’un nouveau numéro d’Astrapi venait d’arriver !
Concernant mon plus grand souvenir d’Astrapi, c’était l’un des tout premiers numéros, « spécial bricolage » avec des boîtes d’allumettes. J’ai soûlé mes parents pour qu’ils achètent plein de ces boîtes. Dans ce numéro (je donnerais beaucoup pour en récupérer un), il y avait notamment une tête de bonhomme qui tirait la langue quand on ouvre la boîte. Je me demande même si ce n’était pas le numéro 0 d’Astrapi ?
Je suis sûr qu’Astrapi m’a façonné étant petit. J’ai par la suite créé quelques jeux de société qui ont été publiés dans divers pays… Je pense qu’Astrapi n’y est pas étranger !
D’ailleurs, je vous félicite pour la « valise Russie ». Ma petite fille de 6 ans l’adore, elle se balade partout avec, sort les petits livrets pour apprendre des expressions russes. C’est vraiment trop bien fait.
Vous faites le plus beau métier du monde.
Pierre-Nicolas
Bonjour !
Mon mari et moi sommes tous les deux d’anciens lecteurs d’Astrapi. Et nous sommes heureux de voir aujourd’hui que notre fille Clémence a autant de plaisir à lire ce journal que nous, il y a trente ans…
Thomas et Juliette
Bonjour Astrapi,
Pour tes 40 ans, je te transmets une lettre et de belles photos de notre collection. Joyeux anniversaire !
Amitiés,
Mathilde et sa fille Hanna
Bonjour !
Mes filles sont abonnées à Astrapi. Je l’ai été également vers les années 1982.
Je me rappelle le plaisir de retrouver les aventures de Marion Duval et la quatrième de couverture avec Touffu.
Il y avait aussi une partie appelée « Astrapan », avec du bricolage. Nous avons gardé le « jeu du pétrole ». Mes enfants y jouent quand ils vont chez leur grands-parents.
Leur grand-père était abonné à Bayard dans les années 1950. Il payait ses magazines avec l’argent qu’il recevait comme enfant de choeur.
Les abonnements ont traversé trois générations avec toujours autant de plaisir !
Merci de continuer à émerveiller et à rendre curieux les enfants.
Isa
Bonjour,
J’ai 38 ans. Ma fille Lucile, 9 ans, est une lectrice d’Astrapi. Et je suis moi-même une ancienne lectrice.
Je serais heureuse d’apporter mon témoignage !
Juliette
Bonjour,
Mon enfance a été accompagnée de plusieurs années d’Astrapi : nous étions quatre frères et sœurs, et nos parents nous ont abonnés chacun à notre tour. Nous lisions aussi les Belles Histoires, J’aime lire, Je bouquine. Et je me souviens de Popi pour mon plus jeune frère.
Nous devons avoir près de dix ans d’Astrapi accumulés chez nos parents !
Aujourd’hui encore, je me rends compte que tous les bricolages, recettes, spectacles réalisés m’ont apporté des compétences qui me servent régulièrement. Autant dans mon métier qu’avec mes enfants.
Je continue donc à lire Astrapi, après mon fils bien sûr. Et retrouver Marion Duval m’a fait très plaisir !
Enfin, petite anecdote : j’ai le privilège d’être née le même jour qu’Astrapi, le 1er octobre 1978 : j’ai eu la chance d’avoir ma photo dans l’Astrapi des 10 ans !
Avec toute ma considération,
Marine
Bonjour,
J’espère qu’il n’est pas trop tard pour me faire connaître. Sinon ma fille Fiona va m’en vouloir d’avoir tardé à vous écrire…
Alors oui, je suis une ancienne lectrice d’Astrapi. Et étant de 1969, j’ai commencé dès le numéro 1.
J’ai toujours les numéros jusqu’au 40 dans un placard !
Laure
Cher Astrapi,
Cette année, triste que ma petite dernière ne lise plus Pomme d’Api et préfère J’aime lire comme sa grande sœur ! J’ai abonné ma grande à ton magazine pour faire les bricolages et les recettes ensemble.
Quel plaisir de la voir prendre du plaisir à lire Marion Duval, comme son oncle ou moi avant elle !
J’ai souri en voyant le numéro sur Gandhi, et cela m’a rappelé la série des grands hommes en bandes dessinés. Je lui ai aussi montré nos vieux exemplaires, et elle a remarqué que, moi aussi, j’avais fait l’enquête sur la généalogie familiale ou le spectacle… Comme elle pour la fin d’année ! Les années changent, mais pas les centres d’intérêt des enfants.
Merci d’être le lien générationnel qui permet de faire comprendre aux enfants que leurs parents ont eu les mêmes goûts qu’eux.
Apprenant qu’Astrapi fêtait ses 40 ans, je lui ai montré le numéro le plus ancien de notre collection, celui donné par ma cousine datant de 1979, et l’évolution du logo ASTRAPI entre 1979 et 1992. Nous avons joué au jeu des 7 différences, ceux de mon enfance et les siens. Et finalement, il y a peu de différences. Elle a ri aussi en voyant la tête de Lulu, ancienne version !
Je profite donc de cet anniversaire pour vous dire merci :
– merci pour les souvenirs d’enfance, comme ce jour où mes parents ont couru tous les supermarchés afin qu’on ait assez de cagettes pour construire notre cabane !
– merci pour ma première frayeur en dormant dedans avec une copine, car notre tortue avait gratté toute la nuit sur les parois.
– merci pour la joie que je garde encore d’avoir gagné avec mon meilleur copain, en 1992, le concours « Journaliste en herbe » : j’ai toujours l’encyclopédie, je l’ai passée à mes filles.
– merci pour le plaisir et les fous rires en famille grâce aux jeux de société et au « cube à défis de Noël ».
– merci de m’avoir permis d’épater mes collègues par ma connaissance en répondant à la question : « Qu’est-ce qu’on peut faire avec un trombone lors d’une formation grâce au petit coin de la fin ? » Comme quoi, cela sert de lire encore Astrapi à 37 ans !
– Merci de nous régaler avec vos recettes !
Si vous cherchez des ambassadeurs du magazine, des testeurs, nous sommes preneurs. Car je me rappelle toujours avoir joué ce rôle pour Astrapi – et le grand frère Phosphore dans les années 1990.
C’est grâce à toutes ces expériences que nous continuons à transmettre votre magazine.
Très longue continuation,
Mathilde (37 ans) et sa fille Hanna (9 ans)
Bonjour,
Tout comme ma fille Zoé, j’ai été abonnée à Astrapi.
J’ai aujourd’hui 43 ans !
Bien à vous,
Alexia
Bonsoir,
Je suis ravie de pouvoir faire découvrir Astrapi à mon fils, Arthur. Il aime le lire tous les quinze jours.
Petite, j’adorais les histoires de l’Inspecteur Bayard.
Et me souviens d’un numéro sur la nourriture de l’an 2000 !
Delphine