Il y a dix, vingt, trente ou quarante ans… Vous êtes nombreux à avoir adoré Astrapi ! Nombreux à avoir béni le jour de l’arrivée de votre magazine chéri, à avoir été passionné par un article, un héros, un jeu, un bricolage… Certains disent même que cela à fait naître en eux une vocation !
Et pour beaucoup, vous voilà heureux de voir vos enfants partager aujourd’hui cette passion…
Alors si vous avez envie de crier votre amour au magazine de votre enfance ou de partager avec d’autres anciens Astrapiens, n’hésitez pas !
Écrivez-nous, écrivez-vous !
Bonjour Astrapi !
Ma fille Mathilde, 9 ans, vient de me tendre son numéro du 1er février… En me disant : « Papa, c’est pour toi ! »
Effectivement, je suis un fidèle et ancien lecteur d’Astrapi. Et comme Astrapi, j’ai 40 ans !
Mes premiers numéros, je les ai reçus en 1984. Et mes derniers, en 1990. Quand j’ai « quitté » Astrapi pour Okapi, j’ai précieusement conservé tous les numéros. Et au collège, membre du « Club Reliure », je les ai reliés patiemment sous forme de livres. Je ne résiste pas l’envie de vous joindre quelques photos.
Ainsi, j’ai 13 tomes d’Astrapi : presque une encyclopédie ! Mathilde les feuillette parfois en complément de ses numéros actuels.
Beaucoup de très bons souvenirs, notamment l’incontournable Touffu, et j’étais fasciné par son Touffuscaphe, les bricolages, les BD, les sujets d’actualité et historiques… L’abbé Pierre, Pasteur, l’Égypte…
J’ai le souvenir aussi d’avoir gagné des prix aux concours, notamment pour ma célèbre machine (en Legos) pour « aider les mamans à monter les œufs en neige » (un jeu de mots de mon père).
Alors, quand Mathilde a eu 7 ans, Je n’ai pas réfléchi deux secondes : Astrapi était pour elle. Et je retrouve dans ses yeux le même plaisir que moi à l’époque. Elle guette le facteur, attendant impatiemment son prochain numéro, lisant, découpant, collant, questionnant…
Bref, Astrapi à évolué avec son temps, mais il est toujours aussi bon !
Bravo !
Voilà quelques souvenirs flash.
Au plaisir si vous souhaitez échanger sur le sujet ?
Sébastien
Bonjour,
Mon fils est abonné à Astrapi depuis plusieurs années, comme sa sœur avant lui.
Pour ma part, j’ai longtemps lu Astrapi, dès les années 1980, car mes sœurs et moi avons également été de fidèles abonnées.
Justement, il y a deux semaines, nous avons retrouvé trois sacs pleins de vieux numéros !
Quel plaisir pour mes enfants et moi.
Vinciane
Bonjour Astrapi !
Je ne t’ai jamais écrit, et c’est à 45 ans que je le fais pour la première fois !
Tu étais mon journal favori, je t’attendais avec impatience comme le fait aujourd’hui ma fille.
Je te dévorais et toute la famille te lisait. Déjà, ça veux dire que j’ai dû lire tes premiers numéros…
Bravo à vous pour cette longue vie et bonne continuation.
Un vœu ? Que mes petits-enfants puissent lire aussi Astrapi.
Vive Astrapi !
Julie (la vieille lectrice) et Chloé (la jeune !)
Bonjour,
Je suis la maman d’une Astrapienne de 9 ans, très assidue et qui ne rate pas une miette de chaque magazine.
Moi-même grande lectrice d’Astrapi dans les années 1980, je suis heureuse de voir ma fille Neila prendre autant de plaisir que moi il y a quelques années, à lire Astrapi de la première à la dernière ligne.
Le plus ancien Astrapi que nous avons retrouvé est le numéro 3. On conserve tous les numéros très précieusement !
Amicalement,
Anne-Gaëlle
Bonjour,
Voilà cinq ans qu’Astrapi fait de nouveau partie du quotidien familial grâce à Madeleine, 12 ans, et désormais Paul, 9 ans.
Il y a eu une coupure de quelques décennies, et pourtant autant de plaisir que dans les années 1980. À cette époque là, j’habitais en Norvège et pour assouvir ma boulimie de lecture, mes parents m’avaient abonnée à Astrapi et à J’aime lire, entre autres magazines.
Le plaisir commençait dès l’ouverture de la boîte aux lettres. Les Copains des Tilleuls, Touffu, les Trucastuces, les petits livres à découper puis à assembler, les bricolages… Je n’étais pas très soigneuse, et un jour, agacée par ma chambre en désordre (on me souffle dans l’oreillette que le couloir avait aussi été impacté par un cyclone !), ma maman m’a confisqué la pile d’Astrapi étalée là par terre. Ouch, sacrée punition !
Une grande fierté de mon enfance a été le jour où ma lettre a été publiée dans le courrier des lecteurs. Il y avait eu un dossier sur le handicap et je racontais brièvement mon quotidien de diabétique, les piqûres qui ne font même pas mal, l’absolue nécessité du traitement. Quel bonheur quand le téléphone s’est mis à sonner, le jour où le magazine est arrivé dans toutes les boîtes aux lettres et que mes copains voulaient savoir si c’était bien moi !
Alors… Quand, il y a un an, un mail est arrivé pour nous annoncer que Paul et Madeleine avaient remporté un prix de l’Astrapi Académie, qu’ils allaient être interviewés et faire la couverture, j’ai repensé à ce modeste moment de gloire de mon enfance et me suis réjouie qu’ils aient, à leur tour, un souvenir mémorable de leur relation avec ce magazine qui leur correspond si bien, qui nourrit la curiosité, ouvre l’esprit, fait rire avec bienveillance, explique, amuse, donne à voir et à penser.
Merci à toute l’équipe et… Joyeux anniversaire !
Anne-Laure
Bonjour !
Je me rappelle… Il y a trente et quelques années, moi toute petite regardant avec envie mes grandes sœurs lire, rire, bricoler avec Astrapi…
Puis mon tour est venu : à moi les BD, Touffu, Marion Duval, les recettes et les jeux !
Quelques années plus tard, j’ai vu mes neveux, puis mes nièces, savourer le fameux journal… Et maintenant, ce sont mes enfants qui se régalent. Même la petite dernière de 3 ans leur pique et fait semblant de lire les blagues de la dernière page !
Est-ce que je peux avouer que, moi aussi, je leur pique quand ils sont couchés ?
Vivement les petits-enfants, ils me feront la lecture de leur Astrapi !
Marion
Bonjour Astrapi !
Je me sens soudain très vieux alors que je n’ai que 20 ans !
Mais je revois, il y a dix ans de ça, le numéro spécial des 30 ans avec les témoignages d’anciens lecteurs assidus. J’en fais désormais parti, et Astrapi restera cette petite madeleine de Proust que j’attendais, comme tous les abonnés, impatiemment tous les quinze jours.
Qu’allait-il arriver à Marion Duval ? L’Inspecteur Bayard s’en sortirait-il cette fois ci ? Sans parler des fameuses blagues Astrapi (comme on les appelle dans ma famille) que l’on ressort encore et encore !
Aujourd’hui, me voilà en master d’architecture. Et j’ai récemment eu le privilège de travailler avec Benjamin Adam, illustrateur qui a déjà collaboré avec vous. Lors de cette rencontre, j’ai réalisé à quel point Astrapi avait forgé mon éducation, ma sensibilité, mon humour, mon sens critique, et m’avait appris à toujours porter un regard un peu décalé sur le monde, sans trop se prendre au sérieux.
Merci pour ça Astrapi !
Cher Astrapi,
Il y a une bonne trentaine d’année, j’étais une lectrice assidue de ta revue. Je l’attendais avec impatience et guettais l’arrivée du facteur.
Je me souviens d’un bricolage proposé pour ranger les revues. C’était une boîte en forme d’hippopotame tout gris, avec de petites oreilles et deux grandes dents. J’ai réalisé ce bricolage avec mon père, avec beaucoup d’enthousiasme.
Lorsque j’ai quitté la maison familiale, je suis partie avec ma boîte hippo. Aujourd’hui, c’est ma fille, grande fan d’Astrapi, qui s’en sert pour ranger ses magazines !
Au plaisir de continuer à lire cette revue très sympa,
Emmanuelle, maman de Claire
Bonjour,
Quand j’étais petite, mes parents m’avaient déjà abonnée à Astrapi.
Devenue moi-même maman d’un petit garçon, Baptiste est lui aussi abonné à Astrapi.
C’est un réel plaisir de vous relire.
Claire, maman de Baptiste (7 ans)
Bonjour,
Nous sommes deux anciens lecteurs d’Astrapi de 47 et 40 ans, parents d’enfants lecteurs d’Astrapi.
Et nous venons de lire votre message dans l’Astrapi numéro 897 !
Flavie et Laurent