Il y a dix, vingt, trente ou quarante ans… Vous êtes nombreux à avoir adoré Astrapi ! Nombreux à avoir béni le jour de l’arrivée de votre magazine chéri, à avoir été passionné par un article, un héros, un jeu, un bricolage… Certains disent même que cela à fait naître en eux une vocation !
Et pour beaucoup, vous voilà heureux de voir vos enfants partager aujourd’hui cette passion…
Alors si vous avez envie de crier votre amour au magazine de votre enfance ou de partager avec d’autres anciens Astrapiens, n’hésitez pas !
Écrivez-nous, écrivez-vous !
Bonjour !
Alors moi aussi, je suis une doyenne… 47 ans et tous les Astrapi de mon enfance dans des boîtes en carton ! Je les ai ressortis avec plaisir pour ma fille de 16 ans qui les a tous lu.
J’adorais Touffu le Chien, j’ai même encore la marionnette que nous pouvions fabriquer avec du tissu en feutrine marron ; il y avait le patron dans un numéro. Et aussi les Copains des Tilleuls. Et bien sûr les maquettes à découper… Ah ça, les maquettes en papier ! Des heures de patience, le dimanche avec mon père, pour découper et coller ces merveilles. Malheureusement, elles n’ont pas survécu au temps. Aujourd’hui, c’est Lilian (8 ans et demi) que j’essaie d’initier au plaisir de la lecture, mais la concurrence des écrans est rude ! Là, j’ai réussi à l’accrocher avec le dernier Astrapi, « Fais ton journal » !
Alors vive Astrapi, et merci de faire revenir le chien Touffu !
Delphine (et Lilian et Ornella)
Bonjour Astrapi, bonjour anciens lecteurs,
Quelle bonne idée de nous donner la parole ! Certains témoignages sont très émouvants et montrent l’impact que peut avoir la lecture sur nos vies. D’autres sont très détaillés, et ravivent la mémoire sur tel ou tel bricolage qu’on avait oublié ! Astrapi compagnon de notre enfance, à un âge où on a soif de découvertes…
J’aimais beaucoup Marion Duval, ses aventures incroyables, le mystérieux Fil et la sublime Esther, se transformant en un clin d’œil en déesse, avec un tesson de bouteille entortillé dans un fil de fer. J’aime d’ailleurs beaucoup moins le dessin actuel, mais mon fils ne voit pas trop la différence – j’ai gardé mes vieux Astrapi qu’il retrouve avec plaisir chez ses grands-parents en vacances.
J’adorais aussi les trucs et astuces, et les Copains des Tilleuls qui faisaient les fous avec les caddies de chez Mammifère !
Longue vie à Astrapi !
Mon fils vous adore et vous dévore !
Noémie
Cher Astrapi,
Je suis très heureuse de t’écrire, peut être est-ce même la première fois que j’ose le faire !
Oui ! je suis une parent ancienne lectrice ! Et j’en ai gardé de tels bons souvenirs que je souhaitais absolument que ma fille te lise aussi !
Même si on habite à Montréal, Québec, et qu’Astrapi arrive toujours un mois plus tard… C’est pour cela que je t’écris d’ailleurs si tard, à la suite de l’appel à témoignages du numéro du 1er février.
J’ai 47 ans. Ma fille, Prana, 12 ans.
J’ai lu Astrapi en France pendant plusieurs années. Ma grande sœur lisait Okapi !
Je me souviens très bien du Dahu, cet animal de montagne avec deux pattes plus courtes que les deux autres pour marcher dans les pentes. J’y ai cru !
Astrapi va fêter ses 40 ans. Je fais donc partie des premiers lecteurs ? Ouah ! Pas pris une ride ce journal, pas comme moi !
Merci du plaisir toujours présent, aujourd’hui comme hier !
On se reparle dans quelques décennies ? Quand je serai une mamie d’Astrapiens première lectrice ?
Bise,
Sophie
Bonjour !
Je ne sais pas si vous avez publié mon très court email. Je développe donc ici.
Je suis sûre que je suis la doyenne de cette page ! Mon Astrapien actuel est mon petit troisième, Gustave, 8 ans. Les deux aînés, 19 et 16 ans, ont été abonnés eux aussi !
J’ai 48 ans et j’ai reçu le tout premier numéro d’Astrapi quand j’avais 8 ans. Astrapi, c’est pour moi le joyau de Bayard Presse… le meilleur de tous !
Bravo pour cette extraordinaire longévité, et des bisous à Touffu et aux Copains des Tilleuls !
Emmanuelle
Bonjour les Astrapiens de tout âge !
J’ai 42 ans et ma fille Margot en a 10.
Elle reçoit ses Astrapis à la maison, et quand elle va en vacances chez sa mamie, elle lit ceux que je recevais moi, quand j’avais 10 ans.
Bon anniversaire Astrapi !
Cécile
Bonjour,
Je m’appelle Marion, j’ai 41 ans et je suis la maman d’une petite fille de 9 ans et demi qui se prénomme Lisa.
Elle est abonnée à Astrapi depuis deux ans, sur mes conseils, car lorsque j’étais petite, moi aussi, je lisais déjà Astrapi…
À l’époque, je me souviens surtout d’une BD que j’aimais bien : celle du chien Touffu : ça serait chouette si vous pouviez rééditer des BDs qui existaient à mon époque ?
Encore maintenant, je lis Astrapi avec ma fille, et elle est toujours aussi surprise quand j’arrive à répondre aux énigmes, aux devinettes et aux « Keskecé » qui sont à l’arrière du magazine.
Continuez comme ça encore pendant quarante ans. Comme ça, je lirai encore Astrapi à mes petit-enfants !
Amicalement,
Marion
Bonjour Marion,
J’avais oublié le nom du chien ! Touffu ! Très bonne idée de proposer de le republier !
Merci !
Bonjour,
Mon fils Émilien, qui a 8 ans, adore Astrapi ! Je suis si contente qu’il apprécie autant cette revue, que j’aimais comme lui à son âge.
J’ai gardé quelques anciens numéros et je me souviens particulièrement de la mascotte de l’époque… Touffu, il me semble ?
Cordialement,
Florence
Bonjour,
Je viens de lire votre appel à témoignages pour les 40 ans d’Astrapi : ancienne lectrice d’Astrapi, comme vous le voyez, je pique désormais les Astrapi de ma fille… Je ne sais plus exactement à quel âge j’ai été abonnée, j’ai maintenant 43 ans, ça date un peu !
Je me souviens avec émotion d’un numéro d’avril avec des farces et attrapes grâce auxquelles j’ai enquiquiné ma famille pendant un bon moment, mais surtout d’un numéro dans lequel il fallait imaginer la maison de l’an 2000. Quand nous avons changé de millénaire, c’est à ce vieux numéro d’Astrapi que je pensais, avec déception j’avoue : nous ne vivons pas dans des maisons sphériques perchées dans les arbres comme je l’avais prévu !
J’aimerais relire d’anciens numéros pour me replonger dans tout ça !
Bref, c’est désormais ma fille aînée qui est abonnée et qui vous lit avec plaisir. Son cadet boude un peu car il voudrait un deuxième abonnement à Astrapi, pour pouvoir faire les bricolages lui aussi. Je ne suis pas loin de céder et le fais patienter avec Images Doc. Et le petit dernier sera encore biberonné un temps à Pomme d’Api et aux Belles Histoires avant que ne vienne son tour.
Bien à vous,
Denise
Bonjour,
C’est avec beaucoup de plaisir que je vous écris, à la demande de ma fille Gabrielle. Avant elle, son grand frère dévorait Astrapi. Lorsque Gabrielle revient à la maison, après la semaine chez son papa, et que son Astrapi l’attend, elle est ravie. Je ne sais pas ce que vous attendez de ces échanges de mails. Peut-être me le direz-vous par retour de ce message ? Si ce sont mes souvenirs avec Astrapi, ça risque d’être long ! À bientôt !
Emmanuelle, 45 ans
Bonjour,
Alors comme ça, Astrapi va avoir 40 ans ? Mon fils Lucas vient de le lire dans votre numéro du 1er février. Selon mes calculs, c’est exact, car je vais avoir 40 ans cette année aussi !
Justement à la maison, quand j’étais petite, c’était la fierté des mes grandes sœurs et moi : bien alignée sur l’étagère de notre chambre, on avait la collec’ des Astrapi depuis le numéro 1 !
Et on adorait les relire tous, tranquillement, le soir avant d’aller dormir.
Il y avait Touffu. Les Trucastuces étaient déjà là : ma sœur aînée avait même une astuce parue dans un numéro, c’était la « blague à la noix » ou comment glisser un message dans une noix pour surprendre les gourmands !
Mais ma rubrique préférée était les Copains des Tilleuls où Farida et ses copains vivaient pleins d’aventures dans leur quartier. Ça fait partie des BD qui m’ont marquée et donné l’envie d’en faire moi-même un jour… Je suis maintenant dessinatrice de BD !
Désormais, Lucas découvre à son tour les rubriques, histoires, jeux et infos d’Astrapi et commence à lire son magazine tout seul. Il prend le relai !
Joyeux anniversaire Astrapi et continue comme ça longtemps encore, car Lucas a un petit frère, Bastien, qui a hâte de pouvoir te lire…
Amicalement,
Anlor