Il y a dix, vingt, trente ou quarante ans… Vous êtes nombreux à avoir adoré Astrapi ! Nombreux à avoir béni le jour de l’arrivée de votre magazine chéri, à avoir été passionné par un article, un héros, un jeu, un bricolage… Certains disent même que cela à fait naître en eux une vocation !
Et pour beaucoup, vous voilà heureux de voir vos enfants partager aujourd’hui cette passion…
Alors si vous avez envie de crier votre amour au magazine de votre enfance ou de partager avec d’autres anciens Astrapiens, n’hésitez pas !
Écrivez-nous, écrivez-vous !
… Toute mon enfance !
Bonjour,
Moi aussi, j’ai connu le numéro 1 d’Astrapi : j’avais 9 ans en 1978. Et comme je suis l’aînée de 6 frères et sœurs qui ont tous reçu Astrapi à leur tour, et que maman y a abonné chacun de mes enfants… Je vous laisse imaginer le nombre d’années d’Astrapi que j’ai pu savourer !
Je me rappelle qu’une de mes activités favorites consistait à aligner des dizaines de numéros par terre sur la moquette de ma chambre pour en faire un tapis d’Astrapi ! Je pense que si j’avais eu un portable à cette époque, j’aurais été très fière d’envoyer la photo à la rédaction !
Nous jouions également à la bibliothèque ou à la librairie avec tous ces Astrapi. Il fallait faire des fiches bristol avec le sommaire de chaque numéro : saine occupation pendant les après-midis de pluie !
J’adorais contempler les dessins et tenter d’en recopier certains. J’ai même eu envie d’être illustratrice pour livres jeunesse… mais je ne suis pas allée jusqu’au bout de ce rêve. En revanche, j’ai gardé précieusement les petites revues (« Le canari déchaîné ») que je fabriquais moi-même, avec mes propres dessins et histoires, sur le modèle d’Astrapi.
Si j’ai la joie d’avoir un jour des petits-enfants, je crois que je les abonnerai à Astrapi !
Bonjour !
J’ai découvert Astrapi à la bibliothèque où je passais tous mes mercredis après-midi… J’ai 45 ans et toute mon enfance a été marquée par le magazine.
Souvent, en classe, je répondais à une question de façon pertinente et la maîtresse me demandait : « Comment sais-tu cela ? » Je répondais : « Je l’ai lu dans Astrapi ! »
J’ai dû lire 239759 fois le numéro consacré à la grossesse. Et bien des années plus tard, j’ai écrit de nombreux livres sur ce sujet !
Ma mère garde précieusement mes anciens numéros. Un jour de Noël, il y a une quinzaine d’années, elle me les a emballés et mis sous le sapin. J’ai pleuré de joie parce que je pensais les avoir égarés lors d’un déménagement…
Merci Astrapi d’être l’incarnation de mon enfance.
Astrapi, c’est ma vie !
Lectrice d’Astrapi au début des années 1980 (aujourd’hui, j’ai 44 ans), je me souviens comme si c’était hier de certaines rubriques, BD, histoires et bricolages et notamment des « mallettes de jeux » (en papier) qui proposaient des activités pour l’été : j’en ai même retrouvé récemment dans ma maison de vacances.
J’avoue n’avoir jamais eu le même plaisir avec les autres magazines. Astrapi restera toujours mon magazine de cœur.
Aujourd’hui, ce sont mes filles qui le dévorent !
Coucou Astrapi,
Eh oui, en 1978, c’est sur une carte Touffu qu’on nous répondait. Avec une réponse manuscrite et personnelle. Je me rappelle avoir écrit et reçu de nombreuses lettres du rédacteur chargé des réponses (toujours le même). Il a dû finir par me connaître… Ces lettres sont chez mes parents, vous n’aurez pas de photo !
Je suis jalouse : mes enfants et mon mari vous ont vus au « Bonheur des Mômes ». Mais moi, j’installais une de nos filles à Lyon, biberonnée comme les autres à Astrapi, ayant même fait son stage de troisième à la rédaction.
Je suis abonnée depuis le numéro 1. J’ai même le numéro-test de « Charabia ». Nous étions en photo dans le numéro des 30 ans, sauf Judith qui était à la sieste. Elle est hyper frustrée de ne pas apparaître dans celui des 40 ans avec toute la famille…
Notre famille accueille tous les ans une petite fille en vacances, elle lit et relit tous les « Lulu ».
Astrapi, c’est un journal de partage. Tellement bien qu’on est obligé de le faire connaître !
Pour la petite histoire, j’ai d’abord été abonnée à « J’aime lire » dès le premier numéro. Et je me demande si mon frère n’a pas eu les premiers numéros de « Pomme d’Api » (et moi ensuite), car David et Marion étaient aussi mes amis (j’ai 48 ans). Décidément, Bayard nous suit et nous suivra encore longtemps.
Quand je demande à Judith (en sixième) si elle veut continuer à te lire, elle me répond : « Bien sûr. »
Pas le choix : on va continuer… et on vous aime !
Cécile
PS : nous faisons toujours les recettes. Les enfants, petits, ont beaucoup aimé faire les Pizzamusantes du numéro 2.
PS 2 : nous venons de recevoir le numéro 910. Je vois que dans le prochain, il y aura une capsule temporelle alors que je viens d’en commencer une avec mes élèves… Vous lisez dans mes pensées !
Bientôt votre anniversaire !
Ici dans ma famille, vous êtes avec nous depuis le numéro 1 : mon frère (48 ans) et moi-même (43 ans) !
Et maintenant, mes enfants Louis et Mathilde se régalent toujours autant… Ils vous attendent tous les quinze jours avec impatience dans la boîte aux lettres !
Louis ne se lasse pas de vous lire et Mathilde est vite devenue fan !
Merci pour tous ces beaux moments !
Temps calme entre cousins (Vianney, Simon, Thaddée, Théophile, Eulalie, et Marie) pendant les vacances !
Deuxième génération d’Astrapiens, leurs mamans étaient déjà abonnées et dévoraient avec la même passion.
Merci Astrapi !
Cher Astrapi,
Je suis chez mes grands-parents et je relis des vieux Astrapi que mon arrière-grand-père a reliés par année.
J’aime beaucoup les enquêtes de l’inspecteur Bayard.
Peux-tu refaire des enquêtes, s’il te plaît ?
Merci d’avance, cher Astrapi,
Bonjour Astrapi,
Je m’appelle Lizanne, j’ai 9 ans, j’adore la gym et je suis abonnée à Astrapi. Ma maman, Agnès, était abonnée aussi quand elle avait mon âge.
Cet été, en vacances chez mes grands-parents, l’anniversaire des 40 ans d’Astrapi a donné envie à ma maman de ressortir toute sa pile d’Astrapi-Astrapan (depuis les tout premiers). Et elle en avait beaucoup, beaucoup !
Moi, ça m’a beaucoup plu de découvrir comment était Astrapi quand ma maman était petite. J’ai adoré !
Mes histoires préférées : les Copains des Tilleuls et Touffu ! Comme ma maman d’ailleurs.
Merci beaucoup Astrapi de nous plaire toujours autant et pendant toutes ces années !
Je suis la mamie de Noé et Maxime. C’est chouette de leur avoir répondu !
Aussi, je voulais vous dire que je possède encore le numéro 1 d’Astrapi, daté du 1er octobre 1978 : génial après 40 ans !