Il y a dix, vingt, trente ou quarante ans… Vous êtes nombreux à avoir adoré Astrapi ! Nombreux à avoir béni le jour de l’arrivée de votre magazine chéri, à avoir été passionné par un article, un héros, un jeu, un bricolage… Certains disent même que cela à fait naître en eux une vocation !
Et pour beaucoup, vous voilà heureux de voir vos enfants partager aujourd’hui cette passion…
Alors si vous avez envie de crier votre amour au magazine de votre enfance ou de partager avec d’autres anciens Astrapiens, n’hésitez pas !
Écrivez-nous, écrivez-vous !
Bonjour !
Je suis Céline, la maman de Milla, grande fan d’Astrapi.
Ma fille ma dit que vous cherchez des parents astrapiens.
J’ai découvert le mag dans les années 1980 ! C’est le curé, et voisin de mes grands-parents, qui m’a fait découvrir les premiers Astrapi. J’allais les emprunter et les remettre dans l’entrée de l’église.
De retour de vacances, mes parents m’ont abonnée. Je me jetais sur les bricolages et sur… Tom-Tom et Nana.
Mon fils Jolan à lui aussi adoré le magazine. Aujourd’hui, c’est ma fille qui est accro. Que de bons souvenirs et de bons moments avec eux !
Bien à vous.
Céline
Bonjour Astrapi,
Je suis une ancienne lectrice : j’ai 45 ans et j’ai eu la chance de découvrir Astrapi dès le numéro 1. J’ai ensuite été abonnée plusieurs années, puis mes frères et sœurs ont pris le relais. C’est désormais ma dernière fille Iris qui est une grande lectrice de votre magazine et qui m’a montré cet appel à témoignages.
Je suis de la génération Touffu et des Copains des Tilleuls. Je dévorais mon Astrapi dès son arrivée. Ensuite, il était lu et relu, comme en témoignent les anciens numéros un peu fatigués conservés à la maison de campagne…
Je garde de bons souvenirs de bricolage d’Astrapan et j’adorais Marion Duval… qui est aussi l’héroïne de BD préférée de ma fille !
En feuilletant les Astrapi de mes enfants, je constate que l’esprit des débuts est toujours là.
Merci à toute l’équipe Astrapi 2018 et une petite pensée pour l’équipe des débuts.
Joyeux anniversaire !
Juliette
Cher Astrapi,
Abonnée de 1989 à 1992, je n’ai malheureusement gardé aucun numéro. J’aurais beaucoup aimé pouvoir comparer « mes » Astrapi avec ceux de mes enfants (Lucie, 9 ans, abonnée depuis deux ans, et Matteo, 7 ans, abonné à Images Doc) ! Mais quand mes parents ont déménagé, j’ai dû faire des choix…
J’ai tout de même conservé les recettes ! L’œuf en tomate, les petits pains de poisson, la tartisardine, les crottes-choc’, les petites bêtes à croquer… Tous sont toujours dans un classeur dans la cuisine et servent régulièrement aux ateliers cuisine en famille ! Mes enfants aiment les consulter de temps en temps.
Je ne sais pas si mes frères et sœurs vous écriront. Ils étaient eux-mêmes abonnés, une dizaine d’années avant moi, après avoir lu Pomme d’Api, et avant leurs années Okapi puis Phosphore… Je leur ai passé le message !
Au fil du temps, Astrapi a su rester le compagnon fidèle des jeunes lecteurs, qui découvrent à travers vos articles le plaisir de s’informer sur tout ! Sport, culture, loisirs, infos renversantes : rien ne manque.
À Noël dernier, mes parents ont offert à chacun de mes enfants leur abonnement pour un an : leurs yeux brillaient plus que devant les boîtes de jouets ouvertes quelques minutes plus tôt !
Longue vie à Astrapi !
Joyeux anniversaire !
Hélène
Bonjour Astrapi,
Dès que ma fille m’a montré votre appel à témoignages, j’ai affiché un sourire jusqu’aux oreilles : MOI, à 41 ans et toutes mes dents, je suis une fidèle lectrice d’Astrapi !
Quand j’avais 10 ans, Astrapi, c’était pour moi une fenêtre ouverte sur le monde, l’imaginaire, la créativité… J’ai passionnément dévoré tous les numéros, fait tous les bricolages, lu toutes les histoires. Et aujourd’hui, je suis fière de faire lire tous mes anciens numéros (que j’ai précieusement conservés) à ma fille, qui est abonnée elle aussi… et à qui j’ai vraisemblablement transmis la même passion !
Merci Astrapi pour toutes ces heures où je me suis évadée, où j’ai rêvé haut en couleurs. C’est exactement ce dont les enfants ont besoin, hier comme aujourd’hui. Bonne continuation !
Charlotte
Bonjour !
Je suis Céline, la maman de Milla, grande fan d’Astrapi.
Ma fille ma dit que vous cherchez des parents astrapiens…
J’ai découvert le mag dans les années 1980 ! C’est le curé, et voisin de mes grands-parents, qui m’a fait découvrir les premiers Astrapi. J’allais les emprunter et les remettre dans l’entrée de l’église.
De retour de vacances, mes parents m’ont abonnée. Je me jetais sur les bricolages et sur… Tom-Tom et Nana.
Mon fils Jolan à lui aussi adoré le magazine. Aujourd’hui, c’est ma fille qui est accro. Que de bons souvenirs et bons moments avec eux !
Bien à vous.
Céline
Bonjour,
Je suis une ancienne lectrice de Pomme d’Api, J’aime lire, Astrapi, Je bouquine, I Love English et Okapi… Nos grand-parents nous abonnaient tous les ans à l’un de vos magazines et leurs arrière-petits-enfants peuvent encore consulter certains numéros vintage dans la maison de vacances familiale !
Je me souviens encore avoir découvert Boule de Suif de Maupassant en BD dans un Je bouquine, ce qui m’a poussé à en découvrir plus sur cet auteur !
Mes filles ont commencé à recevoir Pomme d’Api par leur grand-père à l’âge de 2 ans, et elles en sont aujourd’hui à J’aime lire et à Astrapi… La tradition se perpétue !
Longue vie à vos magazines !
Claire
Bonjour,
Ma fille Zélie m’a demandé de répondre à votre appel à témoignages pour les 40 ans du magazine. Voici donc qui est fait !
J’ai 37 ans et j’ai grandi avec Pomme d’Api, Astrapi puis Okapi. Pour Astrapi, je me souviens des Copains des Tilleuls, des enquêtes de l’Inspecteur Bayard dont je ne trouvais jamais le coupable, des Trucastuces, des bricolages et du tout fou Touffu, bien sûr !
Quand Astrapi arrivait dans la boîte aux lettres, c’était toujours une bonne surprise. J’ai été abonné à d’autres magazines à peu près à la même époque, mais je dois dire que j’y étais beaucoup moins attaché.
Et ce n’est pas fini, puisque je continue un peu à lire Astrapi aujourd’hui à travers ma fille. En échange, elle aime bien feuilleter mes vieux Astrapi chez ses grands-parents.
Voilà ce que je peux dire pour l’instant.
Si vous voulez d’autres renseignements, je suis à votre disposition. Sinon, je témoignerai à nouveau pour les 80 ans d’Astrapi quand mes petits-enfants me le demanderont !
Cordialement,
Cyrille
Cher Astrapi,
Je t’écris avec grand plaisir, et un peu de nostalgie aussi, pour témoigner des mes souvenirs partagés avec toi.
Je me rappelle avoir été abonnée à Astrapi et à J’aime lire durant quelques années lorsque j’avais 10 ans. Te trouver dans ma boîte aux lettres, à Tahiti, était une joie comparable au bonheur du jour de Noël : te trouver dans ma boîte au lettres, c’était un moment extraordinaire. J’imaginais comment ce pli avait voyagé de si loin en portant mon nom et que je partageais certainement ce bonheur avec des milliers d’autres enfants.
À Tahiti, nos boîtes aux lettres étaient centralisées au bureau de poste du quartier où l’on s’arrêtait chaque soir au retour de l’école. Sans tarder, la lecture commençait déjà dans la voiture, sur le chemin du retour, et ma petite sœur entonnait sans s’arrêter : « Quand tu as fini, tu me le passes ? Tu as fini ? C’est quoi le sujet ? Tu me le passes ? » Misère…
Un jour, je t’ai écrit une lettre évoquant ma passion pour ta lecture qui ne s’arrêterait jamais. Et tu m’as répondu ! Une vraie lettre accompagnée d’autocollants de Touffu et d’autres personnages de l’équipe. Quelle joie ! Mais ta réponse m’a longtemps troublée… En effet, tu me remerciais pour mon témoignage, mais tu m’invitais aussi à passer à d’autres lectures, me conseillant je ne sais plus quel autre magazine (Phosphore ?) en m’expliquant qu’il faut aussi évoluer. C’était comme un refus à ma déclaration d’amour éternel…
Je ne me rappelle plus vraiment la suite. Ai-je lu autre chose ? Oui, certainement. Et puis, ouf : c’était ma sœur qui allait être abonnée à toi ! Tu restais donc dans le cercle familial.
Aujourd’hui, je suis documentaliste dans un lycée privé et je pense que je te dois mon amour des livres… à mes parents aussi, bien sûr. Je crois que dans mon courrier, je te disais aussi que je rêvais de travailler plus tard dans votre équipe. Ce que je réalise d’une certaine manière avec le magazine du lycée.
Aujourd’hui encore, j’aimerais énormément vous rendre visite, connaître les coulisses de votre magazine. Comme l’envie de rencontrer des cousins très éloignés pour qui on a de l’affection.
La semaine dernière, ma mère est venue me voir en apportant une pile d’Astrapi de 1990, retrouvés au fond de ma chambre d’enfant. Quel délice ! Je les ai partagés avec mes enfants, on s’est amusés à les comparer avec les récents : mes filles sont abonnées, évidemment. La soirée fut silencieuse, chacune plongée dans un magazine.
Ci-joint, la photo de mes enfants et une lettre de l’aînée, Lola.
Tendrement, bises parfumées de tiare.
Pascale
PS : je suis aussi très fan d’Yvan Pommaux. Ces dessins résonnent en moi depuis l’Inspecteur Bayard et Marion Duval.
Bonjour,
J’ai découvert un peu tard votre message appelant les parents de lecteurs à témoigner de leur propre expérience d’Astrapiens.
Ma fille Aya (10 ans et demi) est abonnée depuis près de deux ans. Avant cela, nous l’achetions régulièrement en kiosque.
Aya a découvert Astrapi en lisant chez mes parents les vieux numéros de mon enfance. Il faut dire que j’ai gardé quasiment tous les numéros. J’ai été abonnée au moins trois ans à Astrapi, mes souvenirs ne sont pas tout à fait précis. Et je l’ai aussi acheté en kiosque, avant et après. Je me rappelle surtout les aventures en BD avec les héros récurrents : Marion Duval, l’Inspecteur Bayard, Lancelot du Lac… et bien sûr les bricolages et les innombrables recettes de cuisine !
Nous avons fait, avec ma grande sœur, la plupart des « restaurants ». Je me rappelle particulièrement le restaurant chinois et le saloon américain où nous avions fait un décor en carton. Tous les ans, ma mère ressort ma crèche réalisée dans une boîte d’allumettes. Elle garde aussi un souvenir ému de mon musée des Indiens d’Amérique réalisé avec un supplément d’Astrapi.
Bref : Astrapi, pour moi, c’est vraiment un symbole de mon enfance, une madeleine de Proust que j’ai encore plaisir à lire dans les numéros de ma fille… et que découvre aussi sa petite sœur Mina (bientôt 7 ans) et qui aimerait s’abonner aussi !
Merci à vous !
Sarah
Bonjour,
Née un an après la création d’Astrapi, le magazine m’a tenu compagnie durant les samedis soirs de mon enfance. Nous n’avions pas la télévision, choix mûrement réfléchi par mes parents. Et le samedi soir, nous avions le droit, avec mes deux sœurs, de lire jusqu’au bout de la nuit ! Ma grande sœur était une lectrice assidue de romans, alors que moi je préférais les bandes dessinées… La lecture ne m’attirait pas spécialement.
J’adorais Astrapi car il y avait des textes pas trop longs et des jeux marrants. Ce que je préférais, c’était la rubrique histoire en bande dessinée : une période expliquée comme la Révolution française ou la vie d’une personne célèbre. J’avais toujours ma pile d’Astrapi dans mon lit, à coté de mon oreiller.
Dès que je me suis aperçue que mon fils n’était pas un lecteur passionné de romans, je l’ai abonné à Astrapi. Maintenant, il attend avec impatience son magazine. Sa plus grande peur, quand nous avons déménagé à Mayotte, c’était qu’il ne reçoive plus son magazine préféré ! Heureusement, Astrapi traverse l’Afrique pour lui… et j’avoue pour moi aussi, car je me prends toujours un temps « spécial Astrapi » pour dévorer le nouveau numéro malgré mes 39 ans !
Marion