Il y a dix, vingt, trente ou quarante ans… Vous êtes nombreux à avoir adoré Astrapi ! Nombreux à avoir béni le jour de l’arrivée de votre magazine chéri, à avoir été passionné par un article, un héros, un jeu, un bricolage… Certains disent même que cela à fait naître en eux une vocation !
Et pour beaucoup, vous voilà heureux de voir vos enfants partager aujourd’hui cette passion…
Alors si vous avez envie de crier votre amour au magazine de votre enfance ou de partager avec d’autres anciens Astrapiens, n’hésitez pas !
Écrivez-nous, écrivez-vous !
Bonjour Astrapi,
À la suite à l’avis de recherche d’anciens lecteurs d’Astrapi (parents de nouveaux Astrapiens), je me présente : Céline, abonnée en même temps que ma sœur dès le premier numéro d’Astrapi. Mon frère aîné était aussi, à l’époque, abonné à Okapi et nous avions commencé, bien sûr, par Pomme d’Api. Comme nous sommes une famille nombreuse, nous avons lu Astrapi très longtemps, car mes parents ont continué les abonnements pour mes jeunes frères et sœurs. Nous les avons d’ailleurs toujours, car ma mère les a reliés et ils ont été lus et relus par ma génération comme maintenant celle de nos enfants…
Actuellement, mon fils Étienne (8 ans et demi) est lui aussi abonné. Je me souviens encore des Copains des Tilleuls, des bricolages (le château fort dans le premier numéro, des recettes (en particulier celle des fruits secs déguisés qui nous sert encore tous les Noëls !), de Touffu, des Trucastuces, de Marion Duval (par la suite)…
Beaucoup de bons souvenirs !
Astrapi était toujours attendu avec impatience.
Céline
Bonjour !
Je m’appelle Karen, j’ai 45 ans.
J’ai été abonnée à Astrapi de 1980 à 1985. J’ai vu votre appel à témoignages dans le dernier numéro et j’ai eu envie de vous envoyer ce petit mail !
Astrapi a beaucoup compté pour moi. Je le lisais et le relisais, parfois même dans mon bain ! J’ai gardé tous mes numéros. Et mes deux enfants, qui sont (ou ont été) abonnés, les relisent avec plaisir l’été, quand nous allons à Stockholm chez leur grand-mère.
Ce journal a été un super compagnon pour moi, et je tenais à vous remercier pour votre humour et votre joie pétillante.
Continuez !
Un grand merci !
Karen
Bonjour, Ma fille Eva est abonnée à Astrapi depuis plusieurs années et, moi-même, j’ai été l’une de vos premières lectrices. En effet, j’ai découvert Astrapi dès le numéro 1. J’ai lu Astrapi durant plusieurs années avant de passer à Okapi, puis à Phosphore. J’ai précieusement gardé tous les magazines jusqu’à ce qu’une inondation de la cave emporte un jour tous ces souvenirs… Dommage, j’aurais bien aimé pouvoir les montrer à mes enfants.
Restent quand même dans la maison familiale de nombreux Pomme d’Api, J’aime lire, Okapi et Phosphore : un vrai musée Bayard Presse !
Qui sait, la troisième génération lira peut-être encore Astrapi, et je témoignerai en tant que grand-mère ?
En vous souhaitant une bonne journée,
Béatrice
Bonjour Astrapi !
Je suis Juliette, la maman de Lucie, et je suis une ancienne lectrice d’Astrapi !
J’ai lu Astrapi dès les premiers numéros : je me souviens encore avec émotion du château fort à construire. J’ai d’ailleurs gardé presque toute ma collection d’Astrapi et d’Astrapan !
Je suis ravie d’avoir réussi à contaminer ma fille Lucie avec le « virustr’happy »… comme elle dit aujourd’hui !
Bises à toute l’équipe de la rédac,
Juliette (et Lucie)
Je suis la maman de Lucile (11 ans) et de Sylvain (8 ans), lecteurs assidus d’Astrapi.
J’ai 42 ans et je lisais moi-même Astrapi étant petite.
J’aimais bien les Copains des Tilleuls, peut être parce que mon frère s’appelle David, et moi Marion comme les héros !
Mon frère a quatre ans de plus que moi : il avait sans doute eu le premier Astrapi car je me rappelle l’avoir vu à la maison.
Je me souviens aussi de Touffu et puis d’un numéro d’avril où l’animal présenté était le poisson pané. Il me semble me rappeler qu’il était dit qu’il avait « les yeux dans deux coins »… ou alors c’était mon frère qui m’avait fait croire cela ?
Bon anniversaire Astrapi !
Marion
Je suis la maman de Clémentine, Astrapienne de 11 ans, et j’ai moi-même été abonnée à Astrapi quand j’étais enfant.
J’ai 46 ans. J’ai de très bons souvenirs de votre journal et c’est pour cela que j’ai abonné mes enfants.
Bonne continuation ! Ma fille vous attend toujours avec impatience !
Christine
Cher Astrapi,
J’ai 43 ans, ma fille Sarah a 9 ans.
Je me rappelle très bien mes premiers Astrapi, c’était en 1982. J’avais 8 ans. Je me rappelle avoir construit le village gaulois et suivi les aventures de Marion Duval et de Touffu. On bricolait un Astrapan avec plus de scotch et d’agrafes que de papier… C’est peut-être toujours le cas ?
Dommage que le nom Astrapan ait disparu. Astrapi allait de pair avec J’aime lire, et bien sûr Tom-Tom et Nana. Lors de la naissance de ma fille, je l’imaginais, plus grande, lire Astrapi. Quand j’ai vu qu’elle aimait : j’étais vraiment heureux et c’est depuis qu’elle est abonnée.
On trouve parfois une présentation et un éditorial au goût du jour, pour autant toujours les mêmes expressions et le même genre d’humour « scout et de bonne famille » qui font la pâte d’Astrapi au fil du temps.
Astrapi, c’est notre histoire familiale qu’on transmet malgré les écarts culturels entre les deux générations.
Informez-moi si vous faites un événement particulier pour cet anniversaire ?
À bientôt,
Christian
Je suis maman d’une jeune Astrapienne prénommée Clémentine.
Comme elle, j’étais abonnée à Astrapi au même âge : c’est le magazine de mon enfance que j’ai préféré et dont j’ai des souvenirs précis. Je me souviens notamment avoir construit un petit robot en boîtes d’allumettes.
J’ai appris beaucoup de choses avec Astrapi et ce fut donc tout naturel pour moi d’offrir le même plaisir à ma fille !
Isabelle
Bonjour,
Il y a trente ans, je me souviens des 10 ans d’Astrapi, j’en étais un fidèle lecteur. Je me souviens de mon plaisir de découvrir le nouveau numéro d’Astrapi dans la boîte aux lettres en rentrant de l’école. Je me souviens de Touffu. Je me souviens de la dernière page qui n’a pas beaucoup changé. Je me souviens de la recette de nougatine et que j’avais testée. Je me souviens que je lisais Astrapi au lit, parfois caché sous ma couette à la lueur de ma lampe de poche pour ne pas me faire attraper par mes parents.
Aujourd’hui, Émilien, mon fils aîné de 10 ans, est un fidèle lecteur d’Astrapi. Il se réjouit de rentrer de l’école et de découvrir le nouveau numéro. Il se réjouit de tester les recettes ou les bricolages. Il lit Astrapi dans son lit, parfois couché sous sa couette à la lueur de sa lampe de poche pour ne pas se faire attraper pas ses parents !
Samuel
Bonjour !
Ma maman Sabine a fait du rangement dans le grenier de Mamie Mo et a retrouvé plusieurs de ses Astrapi. Elle se souvient même du numéro 1. Mais malheureusement, nous ne l’avons pas trouvé.
Merci pour toutes ces lectures !
Marius
PS : ma maman adore autant Astrapi, mais chut !