Anciens Astrapi 40 ans

Élevés à Astrapi !

Il y a dix, vingt, trente ou quarante ans… Vous êtes nombreux à avoir adoré Astrapi ! Nombreux à avoir béni le jour de l’arrivée de votre magazine chéri, à avoir été passionné par un article, un héros, un jeu, un bricolage… Certains disent même que cela à fait naître en eux une vocation !

Et pour beaucoup, vous voilà heureux de voir vos enfants partager aujourd’hui cette passion…

Alors si vous avez envie de crier votre amour au magazine de votre enfance ou de partager avec d’autres anciens Astrapiens, n’hésitez pas !

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259 réflexions sur « Élevés à Astrapi ! »

  1. Florence dit :

    Bonjour !
    Comme d’habitude, j’ai entamé avec plaisir la lecture de l’Astrapi de ma fille Mathilde, qui vient de fêter ses 9 ans.
    Et je tombe sur votre appel à témoignages, qui ne pouvait pas rester sans réponse !
    Alors voilà. Je vais bientôt avoir 45 ans, je m’appelle Florence. Et Astrapi a été sans conteste mon magazine d’enfance favori.
    J’ai été lectrice de Pomme d’Api (Mimi Cracra…), des Belles Histoires (les fraises à la crème, le moulin à sel…), de Je bouquine et d’Okapi. Mais c’est vraiment Astrapi que j’ai préféré ! J’adorais le recevoir dans la boîte aux lettres, lire les aventures des Copains des Tilleuls et celles de Touffu, faire les Astrapans, apprendre mille et une choses sur les sujets les plus divers.
    J’ai été amusée de voir que Marion Duval était toujours là… et les Trucastuces aussi. Je me souviens d’un Astrapan en particulier. Il s’agissait de faire un restaurant à la maison, pour les parents. Nous l’avions fait avec mon frère, mon cadet de trois ans. Nous avions fini sur les rotules, mais nous étions très fiers.
    Un grand souvenir d’enfance qui l’a marqué lui aussi. Les farces du 1er avril avaient toujours beaucoup de succès.
    Astrapi m’a accompagnée pendant mon enfance et je suis heureuse que ma fille en profite aussi.
    Merci, et longue vie à Astrapi !
    Florence

  2. Émilie dit :

    Bonjour à tous,
    Je vois votre appel à témoignages dans le dernier numéro que mon fils vient de recevoir. J’ai 37 ans. Avec mon frère (44 ans), nous avons été accros à Astrapi pendant des années, il y a bien longtemps maintenant.
    Quand mon fils Gaspard a eu 7 ans cet automne, il était naturel que quelqu’un lui offre, à lui aussi, la chance de découvrir plein de choses grâce à vous. Mes parents l’ont donc abonné. Et je suis heureuse de voir que le contenu est toujours de qualité et que mon fils aime autant le lire que moi dans le passé.
    Merci à toute la rédaction !
    Émilie et Gaspard (7 ans)

  3. Anne Cécile dit :

    Cher Astrapi,
    Je viens d’abonner ma fille de bientôt 10 ans à Astrapi. Je l’étais moi-même au même âge, il y a 36 ans, et j’ai vu que vous cherchiez des parents pour témoigner.
    Si besoin, je suis partante. J’ai adoré Astrapi et cela me fait très plaisir de voir ma fille Anouk se passionner pour ce chouette magazine.
    Pour conclure, lorsque j’étais enfant, c’était le grand bonheur de trouver dans la boîte aux lettres le fameux Astrapi, de lire ses BD, de construire ses bricolages, et de terminer par la petite histoire du gros chien Touffu !
    Il me reste encore des numéros intacts, vraiment en très bon état (et qui ont pourtant été lus et relus) des années 1980. C’est ma fille qui profite désormais de ces véritables collectors !
    Vive Astrapi !
    Plus que cordialement,
    Anne Cécile

  4. Lucile dit :

    Astrapi,
    Eh oui… Touffu, les Copains des Tilleuls, un renard : j’adorais, je me souviens de pas mal de trucs. En tout cas, j’ai tellement aimé que je me rappelle encore : « Quel est le comble pour un hibou ? C’est d’avoir une femme chouette ! »
    J’ai 44 ans et je le pique à ma fille de 9 ans.
    L’esprit est toujours là. Merci.
    Lucile

  5. Hélène dit :

    Bonjour !
    Ma fille Lisa m’a fait part de l’appel à témoignages dans son nouvel Astrapi.
    J’ai été longtemps abonnée dans les années 1980 à Astrapi, que je recevais toujours avec plaisir… Nous le dévorions, mon frère et moi. Les Copains des Tilleuls, Touffu, les reportages, les Trucastuces ont bercé mon enfance ! Nous lisions les pages « parents-enfants » avec notre mère. Et presque à chaque fois, nous nous esclaffions en riant : « Ça alors, mais c’est exactement comme à la maison ! Ils doivent nous espionner, ce n’est pas possible autrement… »
    Nous avons beaucoup ri et appris avec Astrapi. Et ma fille vit le même plaisir aujourd’hui.
    Merci Astrapi !
    Hélène

  6. Pauline dit :

    Salut Astrapi !
    J’étais une lectrice assidue d’Astrapi lorsque j’étais enfant. Avec mon amie Cathia, nous parlions de nos lectures et de nos joies de construire les Astrapans. Je me souviens en particulier de la ruche, du poster géant sur lequel il fallait coller des trucs : elle avait collé le morceau de gruyère, et grâce à son expérience malheureuse, je m’étais retenue de le faire.
    Parmi mes préférés, il y a eu les cahiers de recettes de cuisine : les truffes roses et le moelleux au chocolat ont été ma fierté de cuisinière en herbe. Il y avait également les grandes histoires : celle du couple qui ne pouvait pas avoir d’enfant, le mari était parti loin, fabriquer du pain, et avait compris ce qu’était la vie.
    Touffu évidemment était l’idole absolue. Il m’avait même envoyé des autocollants en réponse à une lettre… Pour les BD, il y avait (et il y a toujours) Marion. Et je me souviens d’une enfant vétérinaire dans le futur, qui pouvait voler avec un sac à dos spécial et se lavait sans eau ! 
    Mon fils aîné n’a pas accroché, et j’étais déçue parce que je n’avais pas de prétexte pour lire Astrapi. Mon autre fils, Joseph a 9 ans et demi, il adore Astrapi (mais plonge rarement dans les Astra+). Nous nous moquons gentiment de Lulu, et cette semaine alors qu’il est en classe de neige, je lui ai dessiné une histoire de Lulu, que je vous adresse en pièce jointe.
    J’ai la nostalgie des anciens numéros que je n’ai malheureusement pas conservés, mais que j’aurais aimé relire avec lui.
    Vivement le prochain numéro ! À bientôt, Astrapi !
    Pauline (avec une planche BD faite maison)

  7. Soisic dit :

    Bonjour à tous !
    À 48 ans, grâce à mes petites sœurs puis à mes quatre enfants et à mes neveux et nièces, je peux dire que je suis une « lectrice très longue durée » d’Astrapi.
    Petite, j’ai d’abord été abonnée à Fripounet, mais comme j’étais une lectrice compulsive, mes parents m’on offert l’abonnement à Astrapi dès le début de sa parution. Quel beau cadeau : je garde précieusement dans un tiroir les premiers numéros, et je suis très fière d’avoir le numéro 1 ! J’ai l’impression de détenir une pièce de collection… 
    Dans Astrapi, j’aimais Touffu, et Astrapan : je me jetais sur les découpages et sur les montages à faire, et je gardais les posters, que j’affichais à tour de rôle dans les toilettes, histoire de rendre le moment plus instructif ! Je le fais toujours, et en ce moment il y a au mur de mes toilettes un poster de 1980 qui s’intitule « le grand voyage dans le temps » et qui présente les inventions réalisées par les hommes au cours du temps.
    Je ne connais pas un seul enfant qui n’ait pas adhéré à Astrapi, mais je remarque que tous vivent très mal le moment où on leur annonce qu’ils sont trop grands désormais et doivent passer à Okapi. Le deuil est difficile, car ce dernier est moins ludique…
    Je stresse un peu car mon petit dernier a bientôt 10 ans. Quand il arrêtera Astrapi, cela me manquera aussi à moi, car je ressens toujours le même plaisir en le trouvant dans la boîte aux lettres ! J’espère être vite grand-mère, pour pouvoir offrir cet abonnement en cadeau à mes descendants.
    Je félicite donc tous les journalistes qui se sont succédé au cours des décennies, mais qui ont réussi à garder « l’Esprit Astrapi » et sa merveilleuse marque de fabrique qui permet aux enfants de grandir en toute sérénité. 
    Merci à tous!
    Soisic

  8. Céline dit :

    Bonjour,
    Je m’appelle Céline et je suis la maman d’Ysée, qui est abonnée à Astrapi depuis septembre dernier.
    Nous avons vu l’appel à témoigner que vous avez lancé dans l’Astrapi du 1er février. C’est pourquoi nous vous écrivons aujourd’hui !
    Effectivement, j’ai moi-même été abonnée à Astrapi dans les années 1980 et j’en ai gardé un si bon souvenir que j’ai proposé à Ysée de s’y abonner.
    Ysée ne regrette pas, elle aime beaucoup cette revue !
    J’ai aussi été très émue avec le dernier numéro de janvier quand j’ai vu un dossier « spécial Gandhi » car j’avais moi aussi eu un numéro sur ce sujet en 1987 ou 1988, je crois… et j’avais d’ailleurs fait le premier exposé de ma vie grâce à Astrapi sur… Gandhi donc !
    C’est un plaisir de retrouver aujourd’hui les bricolages, recettes et tout ce qui faisait d’Astrapi une super revue dans mon enfance.
    Voilà, c’était notre petit témoignage. Merci à tous !
    Céline et Ysée

  9. Audrey dit :

    Astrapi,
    C’est une maman émue qui t’écrit aujourd’hui.
    En lisant ton appel à témoins, mes garçons m’ont tout de suite demandé de t’écrire car ils savent combien tu as compté dans mon enfance.
    Ma sœur a été abonnée dès le premier numéro… et moi j’ai pris la suite vers le numéro 180, je crois… Nous les avons tous conservés. Nous avons même le numéro zéro, Charabia : c’était bien toi, n’est-ce pas ?
    Nous avions relié les vingt premiers numéros comme notre maman l’avait fait dans son enfance avec ses numéros du journal Tintin, en remplaçant les agrafes avec de la ficelle pour les coudre entre eux et en collant de la gaze sur la tranche, comme pour un vrai livre…
    Nous passions des heures à découper chaque petit personnage des Astrapan et nous nous souvenons surtout de celui sur les Aztèques puis sur les Gaulois… D’ailleurs, lorsque mon fils a reçu le numéro qui contient le bricolage du village gaulois, j’ai envoyé une photo à ma sœur pour partager cela avec elle : « Regarde, Astrapi a sorti une nouvelle version ! »
    Il y a quelques semaines encore, je disais à Aldric, qui s’ennuyait : « Prends donc une pile d’Astrapi ? » Je lui ai ressorti mes anciens numéros et lui ai fait découvrir Les Copains des Tilleuls : il a adoré !
    Que puis-je vous raconter d’autre, si ce n’est vous dire merci de nous aider à grandir quand on a 7, 8 ou 9 ans ? À la rentrée, Aldric rentrera au collège… J’hésite à renouveler son abonnement… Il commence à se pencher sur les Okapi de son grand frère : mince alors, et moi ? Comment vais-je faire si je ne peux plus lire Astrapi… J’aurai 45 ans au mois de juin !
    Dites-moi vite si vous avez besoin que je vous envoie des photos ou vous raconte quelque chose en particulier de vive voix ?
    Audrey, maman de Ronan (14 ans) et d’Aldric (10 ans)… et Astrapienne !

  10. Corinne dit :

    Bonjour !
    Je suis parent d’enfants que j’ai abonnés à Astrapi, et avant cela à J’aime lire. Et je continue pour l’aîné avec Okapi !
    J’ai été moi-même abonnée par mes parents à J’aime lire, à Astrapi et à Okapi, et je poursuis la tradition familiale… bien que nous soyons des Français de l’étranger et que nous vivons à Singapour !
    Cela permet à mes enfants de garder un lien avec la France. Et ils adorent ! Ma fille attend avec impatience son Astrapi, bien qu’elle n’ait jamais habité en France et qu’elle parle couramment l’anglais et le chinois !
    Astrapi, c’est un peu la France !
    Corinne, maman de Charles et d’Aliénor

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